Les Neuf Salopards Vide Monsieur le président… Vide Pitch du livre: irrécupérable Vide Trait de séparation Vide
Vide Retours de lecteurs Vide

Kholah, sur Sens Critique :
Ce livre apporte une parole rare, sinon inexistante, qu'il faut d'habitude aller chercher au fond d'études de sociologies mal financées, des publications de l'OIP (mal financées également) ou du club de Mediapart, et le talent de l’auteur, c'est d'y apporter son point de vue unique en restant fidèle à lui-même.
Quand on connaît son œuvre, on approuve, quand on connaît moins, on confirme, quand on ne connaît pas… on devrait.

Deidre, sur Un Spicilège :
Plonger au cœur d'une cour d'assises est très éprouvant. Pour le cœur, pour l'âme, pour les convictions aussi. Pour les illusions, encore plus, et si vous en aviez encore, vous allez rapidement les mettre de côté.
Regarder en face notre justice, ça fait mal, mais c'est un exercice nécessaire.

J., par mail :
On passe du rire aux larmes toutes les deux pages. Je me suis même demandé un instant si ce n’était pas ton meilleur livre. C’est ton travail que je trouve le plus émotionnel, le plus impactant, car le plus simple.

Askatuprod, sur Babelio :
Vaquette observe avec dégoût une justice de classe qui est tout sauf juste, en se demandant quand, et sur les pieds de qui, il va dégueuler ! Un livre écrit avec des tripes, des larmes et une immense humanité.

F. R., par mail :
Lu avec intérêt ton témoignage de juré, et le livre passe depuis de main en main… J'ai retrouvé avec plaisir le déroulé particulier de la phrase vaquettienne et cette radicalité que rien ne semble émousser…

X. D., par MP Twitter :
T'as juste envie de gerber et chialer ! Crevez tous !

Alx-Pirate, sur Sens Critique :
Ce livre rapporte honnêtement, sans cut ni complaisance, ce qu'il est normalement sommé de taire : il n'y a pas de Justice, mais un système judiciaire, qui n'est strictement que la ratification d'un rapport de force. Les idées dominantes sont bien les idées de la classe dominante, Vaquette, avec humour, brio et humanité, nous le rapporte encore une fois à sa façon unique.

A. J., par mail :
Merci, ce livre m'a apporté beaucoup : des informations, du partage d'émotions, des colères et des fous rires. Le côté journalisme te va à merveille, tu y es honnête et intègre, les interludes drolatiques apportent selon moi la dose vaquettienne nécessaire à la prise de recul indispensable pour rebondir tant la misère décrite est grande. Le bonus est magistral ! C'est la cerise sur le gâteau !!

Vide

En vente sur la page :

Vaquette
Par Correspondance

288 pages / Format 11 x 18

16 euros (+ port)

Attention !
Giga promo / soutien
"Faire découvrir Vaquette" :
5 exemplaires pour 80 €
50 € !

Vide Couv Les Neuf Salopards

Bonus :
Voilà pourquoi j'ai
frappé dans le tas
de Émile Henri,
terroriste anarchiste condamné
à la guillotine en 1894 et dont la
déclaration devant les jurés, aux assises (un manifeste
intéressant, au moins d'un
point de vue historique…),
est introuvable en librairie.

Liste des chapitres ICI

Vide

T. N., par mail :
Ton bouquin m'a donné la nausée et le vertige. On a du mal à y croire, mais finalement tout cela est tristement banal et prévisible quand on connaît la psychologie des institutions. Envoyer une SDF en prison pour un crime qu'elle n'a pas commis, ça ne pose de problème à personne puisque de toute façon toute la responsabilité du jugement est diluée entre le président, le jury et les experts.

Une avocate, par mail :
Les cours d’assises sont sur le point de disparaître. De votre livre, je retiendrai que ça ne changera rien aux verdicts mais que notre humanité toute entière (et notre société en particulier) perdra là, définitivement, une occasion irremplaçable de laisser les citoyens regarder sous la robe de la justice.
Merci encore de votre générosité et de votre regard sur ces quelques jours qui auront changé ceux qui se sont croisés dans cette salle d’audience.

Tubulamarok, sur Babelio :
Ce livre est un témoignage, certes, mais surtout un hommage incisif et poignant dont on ne ressort pas indemne. Impossible de ne pas lire ce livre sans en ressortir passablement énervé contre cette machine à broyer les êtres humains, mais également contre ces jurés ravis d’être convoqués et qui n’ont qu’une hâte : punir et humilier.

O. B., par mail :
J'ai bien été écœuré par le système de protection réciproque entre institutions, et le peu de cas que l'on fait des pauvres gens. J'ai encore cette naïveté de croire que ce qu'on lit dans les livres du XIXe siècle sont des pratiques du passé…

T. M., par mail :
Ton œuvre m'a remise face à cette réalité simple : les accusés et les condamnés souffrent. Alors, dans mon boulot de conseillère insertion, la personne sous contrôle judiciaire qui attend son procès aux assises, je la traite humainement (et ça a même l'air de l'étonner quand je lui fais sentir qu'on est dans la même équipe). Grace à toi, j'apporte du soin dans ce que je peux lui apporter dans son parcours et je m'entraîne à me foutre de ce qu'il a bien pu faire et j'essaie de lui offrir un peu de soutien dans ce qu'il peut faire pour essayer de se relever.
Alors : Merci !

F. P., par mail :
Une gerbe totale sur les sous-merdes, dans les jurés ou dans la famille de la deuxième affaire, et je m'énerve déjà tout seul rien qu'à y repenser.

T. V., par mail :
C'est donc un très bon livre que tu nous as écrit encore, qui s'inscrit parfaitement dans l'ensemble de ton œuvre protéiforme. Un texte brut, forcément sincère, peut-être plus personnel que d'autres (on sent combien tu as été touché par ces deux semaines) et finalement, comme pour Je ne suis pas Charlie, plein de bon sens.

L’abbé Dubois, sur Sens Critique :
Ce pamphlet partisan et engagé n'est pas dénué de mauvaise foi, mais il est écrit avec suffisamment de sincérité et à l'aide d'une langue riche et vivante qui confirme que l'auteur n'est pas simplement un polémiste mais aussi et d'abord un véritable écrivain.

V. G., par mail :
L'impression d'ensemble est BÉTON !!!, c'est un essai intello hyper carré, entre journalisme de fond à la Florence Aubenas et analyse critique radicale sourcée.

B. de M., par mail :
C'est drôle, touchant, instructif, potache, provo mais pas trop (je m'attendais à bien pire), ça fout le seum… Entre témoignage, essai critique et littéraire, et "manifeste" (peut-être un peu à la J'accuse…! en plus fouillé). Un ouvrage hybride, original par rapport aux publications disponibles en librairie et à tout ce qu'a publié Vaquette.

A. D., par mail :
Je prends ce livre comme un rapport. Tu as saisi l'opportunité de plonger in vivo dans une des facettes les plus crues de ton travail sur la marginalité, l'extravagance et la déviance. Le point de vue personnel d'une des rares personnes qui ne baissent pas culotte devant les pouvoirs apportera toujours quelque chose de précieux, même si l'on savait déjà comment fonctionne la merveilleuse machine à broyer.

TampaxRomana, sur Sens Critique :
Grand bien a donc pris à l'auteur d'avoir su tirer de son expérience aux assises un ouvrage à part, qui prolonge et creuse des questions qui ont donné au long cours la consistance et la cohérence de son œuvre, tout en lui trouvant une forme renouvelée.

N. R., par mail :
Tu es sincère et ça se ressent tout au long de l'ouvrage. Je ne sais pas si tout ça fait sens, mais c'est comme ça que j'entends humanisme et humain.

B. C., par mail :
Je me suis jeté sur Les Neuf Salopards que j’ai avalé d’un trait, c’était tout bonnement excellent, à la fois drôle et provocant, gonzo (on revoit Hunter Thompson se faire casser la gueule par les Hells Angels), philosophiquement indispensable et surtout touchant, à fleur de peau et rage au ventre. Un cocktail vraiment détonnant que je recommanderais grandement pour une première immersion dans ton travail.

J., par mail :
[Ton travail], c’est un rappel (que je trouve salutaire en cette période) que le Grand et Beau, l’intégrité et le refus de la compromission, ce n’est pas qu’une question de riches ou de "grands hommes" qui font l’Art et l’Histoire, mais aussi quelque chose qui peut toucher chacun d’entre nous, à toute échelle du monde, qu’importe ce que les apparences ou le discours dominant en disent. Ça rappelle en quoi il est d’autant plus important de porter les valeurs que tu portes depuis le début.

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