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Vous trouverez ci-dessous en version intégrale et en MP3 (sans DRM naturellement) les deux titres qui composent le nouveau CD de l’IndispensablE ("Crevez tous, premier massacre"), ainsi que le livret dudit CD au format PDF. Vous trouverez également ci-dessous un lien pour acheter, en libre responsabilisation, ces téléchargements, ainsi que des tarifs suggérés pour les plus indigents jusqu’aux plus nantis d’entre vous. Rassurez-vous pourtant, le Prince du Bon Goût, pas plus que M. ni Mme Poignon, ne sont commissaires de police ou inspecteurs des impôts et vous pouvez sans risque aucun, pas même le moindre petit trojan – définitivement c’est mieux encore que le P2P – vous révéler terriblement "malin" en carottant l’IndispensablE. À ceux-là (à ceux qui carotteraient l’IndispensablE – Whaou ! Respect ! T’es un vrai bandit ! Yo !), Vaquette assènera simplement son sempiternel "Soit vous pénétrerez la pensée vaquettienne qui, inlassablement, ne parle que de liberté et de responsabilité et alors vous mourrez de honte à l’instant ("car à quelle société on aspire, c’est la question fondamentale, d’un côté la liberté qui exige la morale, la responsabilité et l’acceptation du risque naturel à la vie, de l’autre l’obéissance qui impose la morale, la culpabilité et le fantasme morbide d’un risque zéro"), soit vous ne comprendrez rien du tout et, avouez-le, il eût été dommage que vous payiez pour un travail qui, manifestement, ne vous est pas destiné." J’ajoute simplement pour ceux, mal élevés par Internet, à qui ça ne semblerait pas une évidence, que la valeur d’un CD ne réside pas essentiellement dans sa fabrication physique mais dans l’investissement matériel et surtout humain nécessaire pour le produire – deux ans de travail à plein temps, par exemple, pour ce nouvel opus –, et que l’argent n’est rien d’autre qu’un moyen de permettre à l’IndispensablE de continuer son travail de façon indépendante et avec le temps nécessaire qu’impose son exigence. Pour le reste, je vous invite fortement à lire cet excellent texte de votre IdolE, il dit l’essentiel, je crois, du rapport entre le public, "l’artiste" et l’argent.
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